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La Mauritanie sous son big-boss : espoirs et désespoirs.

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La Mauritanie sous son big-boss : espoirs et désespoirs.  Il est difficile de spéculer sur demain, à plus forte raison sur le futur proche. Mais nous allons essayer de nous prêter à cet exercice délicat sans prétendre posséder les outils de la prédiction analytique. Par notre modeste expérience d’observateur de la scène politique au sens large du terme, nous allons livrer quelques réflexions sur ce que serait la Mauritanie dans le courant du mandat du président Mohamed Ould Abdel Aziz ou de ce qui en reste après deux ans de gouvernance. Certes dans tout début de règne il y a des balbutiements voire des maladresses, des atermoiements, des fougues d’initié. Mais quand l’énergie impulsive dépasse la force rationnelle, les bonnes intentions peuvent se noyer dans l’océan des illusions. Le courage du brave peut se heurter à l’intransigeance de l’histoire et les fausses apparences craquer sous le poids de la réalité implacable et incontrôlable. Dire qu’il est facile de diriger un...

Mais où va donc la Mauritanie ?

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Mais où va donc la Mauritanie ?  D'après l'extrait d'un document cridem.org « Je déclare l’indépendance de la République Islamique de Mauritanie !». C’était le 28 novembre 1960. Maître Moctar Ould Daddah, solennel, une toute petite touffe de cheveux grisonnants sur le devant de la tête, n’a point tremblé en prononçant cette phrase magistrale, malgré le poids du faix, comme s’il s’y était longtemps préparé. Je ne me souviens pas d’avoir écouté ce discours au moment des faits, j’étais trop jeune. Je ne pouvais donc pas comprendre à l’époque que cette voix-là était celle de l’Histoire.Quinze ans plus tard, bien des choses s’étaient passé dans le pays. Après les tristes événements de 1966, après ceux de 1968 à Zouérate, la Mauritanie semblait avoir retrouvé ses marques. Les divers mouvements de contestation, dont le plus radical était celui des khadihines, commençaient à battre de l’aile sous les coups de boutoir d’une politique sociale et économique vigoureuse ;...

L'intégration, quel gros mot !

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Il ne faut pas uniquement intégrer. il faut aussi désintégrer. C'est ça la vie. C'est ça la philosophie. C'est ça la science. C'est ça le proprès, la civilisation. "L'intégration se fait par rejet partiel. On n'aime pas mais on s'adapte quand même." car Choisir entre la liberté soi-disant offerte par l'occident et l'indépendance sous un tyran, c'est choisir entre la peste et le choléra...

NEPOTISME ET POTENTIELS DE DESORDRE EN MAURITANIE

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De l'architecture de la spoliation aux espaces de violence Le 12 décembre 1984, le Colonel Ould Taya renverse son prédécesseur le Colonel Ould Haidalla, invité alors, non sans insistance, par le Président François Mitterrand, au sommet franco-africain de Bujumbura, capitale du Burundi. Le putsch réussit, sans effusion de sang, grâce à la " bienveillance " des Services français. Depuis, le nouveau pouvoir s'identifie à la très minoritaire tribu du Chef de l'Etat, les Smassid* . Exception retenue des deux premières années (1985-1986), l'ère Taya se distingue par une dégradation irrépressible du sens civique , des finances, de l'enseignement et de la santé. Au chapitre des libertés et malgré un récent replâtrage institutionnel (1992), la fraude, lors des scrutins, s'impose en règle quasi mécanique. Pire, le bilan se solde par des centaines d' exécutions extra judiciaires, des déportations massives et de nombreux assassinats d' opposants duran...

Le président des pauvres : médecin après la mort…

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Les maures disent que celui qui ne voit pas le ciel, il ne faut pas lui montrer. Pourtant même en le lui montrant, il a fallu attendre la famine manifeste pour le PM, qui a toutes les caractéristiques intellectuelles, physiques, spirituelles, imaginatives, réactionnelles du paillasson d’Aziz, vienne pleurnicher en demandant de l’aide aux pays amis et frères pour aider le gouvernement de la bonne gouvernance à trouver 112 millions de dollars histoire de sauver le pauvre peuple de Mauritanie et son cheptel. Hypocrisie et crime sans nom ! Cette somme c’est moins que ce qu’ont coûté les avions de énième main qu’Aziz a achetés dans sa folie des grandeurs comme s’il était le président d’un pays riche. Face à la misère, à la gabegie comme il dit, était-ce une urgence d’aller acheter des avions quand son peuple meurt sous ses yeux ? Surtout à une époque où plus personne de raisonnable n’achète d’avion, on les loue ! C’est plus rentable et plus sûr pour la maintenance. Qu’a-t-il à dire Azi...

Urgent : Rupture de Gardenal injectable dans tout Nouakchott !

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Au secours, au secours !                                                                                                                         Rupture de Gardenal injectable dans tout Nouakchott ! selon cridem.org Le Gardenal injectable, indispensable dans traitement temporaire des épilepsies de l'adulte et de l'enfant, en remplacement de la voie orale lorsque cette dernière est inutilisable, n’existe...

Après la France des lumières LA FRANCE DES QUOTAS

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Y'a t-il risque de dévaluation du franc CFA ?

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                                              Y'a t-il risque de dévaluation du FCFA ? Une nouvelle dévaluation monétaire n’est pas à craindre actuellement dans les pays de la zone franc CFA, a déclaré dimanche à Dakar le président-directeur de la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Sénégal (BICIS), Amadou Kane. ‘’Fondamentalement, il n’y a pas de raison aujourd’hui qu’on craigne la dévaluation’’, a dit M. Kane à l’émission Grand jury de Radio futurs médias (RFM, privée). Une dévaluation n’est pas à craindre d’autant plus que ‘’nos critères sont bons. Notre zone se comporte bien. Notre croissance est présente. Notre inflation reste mesurée’’, a argué le banquier. Il écarte l’éventualité d’une dévaluation aussi bien à l’UEMOA (Union économ...