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Affichage des articles du novembre 20, 2011

travailler pour rembourser plus et vivre moins bien.

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Les déclarations politiques sont riches d’enseignement. La question centrale du travail est au centre des propositions et des intentions de nombre de politiciens. Pratiquement tous veulent mettre les gens au travail. Mais ne sont-ils pas responsables du déficit d’emploi car si les gens ne travaillent pas assez, c’est parce qu’il n’y a pas assez d’argent pour les payer ? Le système est devenu déséquilibré, ce qui signifie crise, non pas une crise économique parce que la production mondiale ne faiblit pas, mais une crise sociale. Et que suggèrent les politiciens ? Eh bien mettre les gens au travail, en forçant le système, un peu comme on gave les canards pour se délecter du foie. Le foie gras de l’économie étant en l’occurrence le profit extrait de la mise au travail du maximum d’individu au nom du progrès et de l’élévation du niveau de vie qui fait sortir de la pauvreté des tas de gens et qui associe les profits des plus riches au bien-être matériel des plus pauvres. L’enfumage a bien ...

L'Espagne s'apprête à basculer à droite lors des législatives

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                                        La droite prête pour la victoire La droite pourrait même obtenir une majorité absolue et ne pas avoir à s'allier avec les partis nationalistes (catalan et basque). Le Parti Populaire (PP) de Mariano Rajoy, ne mettra pourtant pas fin à la rigueur : il a même promis des coupes budgétaires importantes d'ici le début de l'année prochaine (le nouveau gouvernement sera mis en place le 20 décembre). La vraie question du scrutin, à en croire le quotidien, consiste plutôt à se demander à quel point la droite va-t-elle marquer des points. Réussira-t-elle à emporter l'Andalousie, région indépendante et fief du PSOE depuis 30 ans, ou encore la Catalogne ? Réponse dès ce soir...

Le printemps arabe a-t-il déçu les populations ?

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Le monde arabe, notamment le Maghreb arabe et le Moyen orient ont connu en 2011 une forte effervescence ayant abouti à ce qu’on appelle désormais, sans d’ailleurs savoir trop pourquoi, le printemps arabe. Une série de révolutions déclenchée par l’immolation du jeune vendeur de fruits, le tunisien Mohamed Bouazizi. Ce jeune désespéré ne savait sans nul doute pas qu’en mettant le feu à son corps, il allait mettre à feu et à sang non seulement son pays la Tunisie mais également tout le monde arabe avec toutes les conséquences que l’on sait à commencer par la chute des régimes autoritaires au grand bonheur des populations lasses de l’autorité de ces familles qui les dirigé d’une main de fer pendant plusieurs décennies en les appauvrissant chaque jour un peu plus au même moment qu’eux et leurs progénitures faisaient de frasques incroyables. Le geste de Bouazizi provoque une vague de protestation dans son village de Sidi Bouzid puis le mouvement de contestation s’étend spontanéme...