KARL MARX … LA RÉVOLUTION.

« Comme le racontait Coluche, « c’est l’histoire d’un type, un type normal », enfin presque puisque la mise en application de l’idéologie et des thèses développées par ce « type » n’ont pas vraiment été une grande réussite économique et historique.
Il s’agit de Karl Marx et c’est un homme des année 1850… Comme tous les vieux économistes dont on nous parle, d’Adam Smith et sa main invisible censée « botter le cul des marchés » avec sa capacité d’autorégulation à Ricardo (théorie de l’avantage relatif), ce sont des économistes de la filature du coton et de la révolution industrielle.
Économiquement, ils sont aussi dépassés que le serait technologiquement une Ford T sur une autoroute française un jour de grand départ en vacances.
Alors que vient faire Marx, surtout dans la révolution tunisienne ?
Notre cher Karl a, un jour, fait un constat d’une très grande acuité et d’une très grande justesse historique en expliquant la notion d’infrastructure économique et de superstructure politique. Afin de faire simple, pour Karl Marx, c’est l’infrastructure économique qui conditionne à terme la superstructure politique et les institutions.
C’est la vie quotidienne des gens, des entreprises et de tout ce qui constitue le corps social d’un pays qui conditionne l’évolution de ses structures politiques (mais également religieuses, philosophiques, etc.).
On a entendu que la révolution du Jasmin était une révolution Internet, une « e-révolution » en quelque sorte. En réalité, Internet, le Web 2.0, les forums, la blogosphère ou encore les réseaux sociaux comme Facebook ne restent que de simples outils à la disposition des peuples, de la même façon que le fut la révolution de l’imprimerie avec Gutenberg en 1452.
La révolution naît de l’utilisation par les masses de ces nouveaux instruments.
Or que nous disent les masses de l’autre côté de la méditerranée ?
Elles nous disent qu’elles ne supportent plus les « superstructures de leurs différents États ».
Elles nous disent qu’elles n’en peuvent plus des régimes « forts », qualificatif utilisé pour ne pas nommer une dictature… « dictature ».
Elles nous disent qu’elles souhaitent s’épanouir dans la démocratie, revendiquent des droits et, bien sûr, une envie d’accéder au bien-être matériel.
Elles nous disent qu’elles n’en peuvent plus des ces vieillards qui les dirigent depuis des décennies, entre culte de la personnalité et corruption généralisée.
Elles nous disent que les superstructures de leurs pays respectifs ne sont plus adaptées à la vie quotidienne des gens (du manque d’avenir économique confinant souvent à l’extrême pauvreté

LA PROCHAINE RÉVOLUTION FRANÇAISE !

Le président des pauvres : médecin après la mort…
Un proverbe Africain dit: " celui qui ne voit pas le ciel, il ne faut pas lui montrer".
François Hollande a rassemblé 《les mythe-errants》… C’est parti mais ce n’est pas gagné du tout pour le PS !
Hollande président est une sorte de Zapatero ; il gére le quotidien, essaye de faire juste ce qui semble possible…
Le P.S existait à peine et où il fallait rassembler le coq et l’âne, la carpe et le lapin pour battre la droite de Nicolas 1er.
Hollande est arrivé comme un titan pour terrasser Nicolas premier.
Est-il brave Hollande ?... Très gros et très fort hein !...
Et tout ce qu’on peut retenir de cette prestation qui a bien fini, entrecoupée de « François président ! François président ! » comme un appel à la mémoire de François Mitterrand  (père) pour soutenir François fils… 
C’est au peuple de le faire rêver…

Commentaires

grouptriangle

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